Un chef d’orchestre est retrouvé assassiné d’une manière pour le moins inhabituelle, une partition enfoncée dans la gorge. Pour résoudre ce meurtre, l’inspecteur Jack Robinson a absolument besoin des lumières de la charmante, précieuse et très futée Miss Fisher.
Mais le mystère s’épaissit lorsqu’un étrange mathématicien entre dans la partie. Hautain mais très séduisant, ce scientifique est réputé pour réussir à casser les codes secrets les plus complexes. Et tout le monde semble tomber sous son charme.
AidĂ©e de sa fidèle Dot et de monsieur Butler son majordome aux idĂ©es larges, Miss Fisher va devoir faire appel Ă  ses capacitĂ©s d’analyse et Ă  ses contacts d’ancienne espionne pour rĂ©ussir Ă  dĂ©mĂŞler cette tĂ©nĂ©breuse affaire…

Enfin, ENFIN ! Presque trois ans que j’attendais la sortie en poche des deux dernières aventures publiĂ©es en français de Miss Fisher ; hĂ©las, je n’ai pas Ă©tĂ© emballĂ©e.

Ce roman est beaucoup plus long que les autres prĂ©cĂ©demment publiĂ©s par Kerry Greenwood, et je ne peux que saluer le travail d’adaptation de la sĂ©rie : il y a des longueurs … plus que longues, le style n’est pas toujours des plus heureux – des redondances en veux-tu en voilĂ , l’auteur nous rĂ©pète Ă  peu près Ă  chaque phrase combien Phryne est soublaĂŻme, magnifaĂŻque, avec des jambes de dĂ©esse gniagniagnia, et franchement c’est : nul.

Sinon l’intrigue est bien, bons personnages, plus nombreux que dans la sĂ©rie, sympathiques Ă  suivre. Mais le style, les rebondissements Ă  gogo qu’on voit plus ou moins arriver, pouah non merci.

(Cet avis vous était offert par le comité des critiqueurs lapidaires agacés)

(Faut dire que ça fait plus d’un mois que j’ai terminĂ© ma lecture)

(C’est vous dire combien ça m’a marquĂ©e)

Du mĂŞme auteur : Crime au Moulin Vert